jeudi 25 février 2010

Pour une liaison rapide Paris-Orléans-Limoges-Toulouse


La SNCF, admet mener aujourd’hui une réflexion sur le modèle économique de ses TGV.

Lors de la présentation du budget 2010, la direction a évoqué ainsi une « Adaptation de la branche SNCF Voyages (TGV) aux évolutions de son environnement, aux nouvelles conditions de marché et aux besoins des clients. »
Victime de la crise économique, le chiffre d’affaire de la branche voyages a diminué d’1,2% et est ainsi le seul secteur déficitaire de l’entreprise avec le fret.
Alors que la SNCF prévoit une augmentation globale de son chiffre d’affaires de 4% pour 2010, elle souhaiterait supprimer les lignes qui ne seraient pas rentables.

Si comme toute entreprise, elle a des objectifs de rentabilité, en tant que société publique, la SNCF a avant tout une mission de service public d’aménagement du territoire, d’en faciliter le transport de sa population. Elle ne doit pas privilégier ses activités commerciales au détriment de ses usagers, or elle oublie aujourd’hui les régions du centre et du sud-ouest dans son développement.


Symbole de progrès technologique, le TGV est indispensable pour relier les métropoles rapidement. Au 21e siècle, ère des nouvelles technologies, nous sommes en droit de nous étonner que le TGV actuel mette 5 H 30 entre la capitale et le capitole, alors que le Capitole de 1950 atteignait 200 km/H.
Capitale européenne de l’aéronautique et l’aérospatiale grâce à EADS, Toulouse, quatrième ville de France se doit d’avoir une ligne rapide pour que son développement se poursuive, permettant ainsi à des milliers de personnes de se déplacer rapidement.

Les Jeunes Centristes déplorent que les liaison non directes entre Paris et Toulouse passent par Montpellier ou Sète, ville de 50 000 habitants, alors que Limoges compte 138 000 habitants, 260 000 avec l’agglomération, soit la 25e ville de France, et la 36e aire urbaine.

Paris-Limoges-Toulouse est un axe majeur pour l’aménagement du territoire, le développement économique grâce au fret, l’environnement.
La ligne permettra de désenclaver et de développer l’économie des régions du centre, du Limousin , Midi Pyrénées, et sera créatrice d’emplois.

Soutenu par les élus locaux dans les années 90, le projet a été abandonné par le gouvernement Raffarin, lors du Comité interministériel d’aménagement du territoire du 18 décembre 2003

Les Jeunes Centristes demandent aujourd’hui que ce projet novateur soit de nouveau porté par les élus des régions traversées par la ligne.

lundi 22 février 2010

Grand débat sur la fin de vie Venez donner votre opinion!!!


Femmes au Centre 31 dont je suis le référent lance un grand débat sur la fin de vie.

Après avoir lu cette note de synthèse, donnez votre aivs sur la question et courant avril, je vais organiser un grand débat avec des spécialistes du sujets


Cette note de synthèse reprend celles réalisées par le Sénat en janvier 1999 et en juillet 2002.

Dans tous les pays développés, les avancées de la médecine permettent de maintenir artificiellement en vie, parfois pendant de longues années, des personnes plongées dans un coma profond et irréversible. Par ailleurs, l'évolution des mentalités et la priorité donnée au respect de la volonté individuelle conduisent certains à revendiquer le droit de pouvoir décider eux-mêmes du moment de leur mort.

L'étude de 1999 analysait les dispositions juridiques régissant les différentes formes d'euthanasie dans cinq pays européens, l'Allemagne, l'Angleterre et le Pays de Galles, le Danemark, les Pays-Bas et la Suisse, ainsi qu'en Australie et aux États-Unis.
Si les règles en vigueur en Allemagne, en Angleterre et au Pays de Galles, au Danemark, en Suisse, en Australie et aux États-Unis sont demeurées sensiblement inchangées, depuis lors, la Belgique et les Pays-Bas ont légiféré pour légaliser l'euthanasie lorsqu'elle est pratiquée dans certaines conditions. La loi néerlandaise, adoptée en avril 2001, est entrée en vigueur le 1er avril 2002 et la loi belge, adoptée en mai 2002, est entrée en vigueur le 20 septembre 2002.

Les initiatives en faveur de l'euthanasie se sont donc multipliées. Dans les faits, l'euthanasie peut recouvrir plusieurs formes :
- l'euthanasie active, c'est-à-dire l'administration délibérée de substances létales dans l'intention de provoquer la mort, à la demande du malade qui désire mourir, ou sans son consentement, sur décision d'un proche ou du corps médical ;
- l'aide au suicide, où le patient accomplit lui-même l'acte mortel, guidé par un tiers qui lui a auparavant fourni les renseignements et/ou les moyens nécessaires pour se donner la mort ;
- l'euthanasie indirecte, c'est-à-dire l'administration d'antalgiques dont la conséquence seconde et non recherchée est la mort ;
- l'euthanasie passive, c'est-à-dire le refus ou l'arrêt d'un traitement nécessaire au maintien de la vie.


Pour chacun des sept pays couverts par l'étude (l'Allemagne, l'Angleterre et le Pays de Galles, le Danemark, les Pays-Bas, la Suisse, l'Australie et les Etats-Unis), sont décrites les règles juridiques qui régissent, directement ou non, les différentes formes d'euthanasie, puis analysées les principaux éléments de la pratique ainsi que l'état actuel du débat.

Il apparaît que :
- le Danemark, plusieurs cantons suisses, la moitié des Etats ou territoires australiens et tous les Etats américains ont adopté des lois reconnaissant à chacun le droit d'exprimer par avance son refus de tout acharnement thérapeutique ;
- la loi danoise sur l'exercice de la profession médicale permet aux médecins de ne pas maintenir en vie un malade incapable d'exprimer sa volonté et condamné à brève échéance, même si ce dernier n'a pas antérieurement exprimé son refus de tout traitement médical dans certaines circonstances ;
- l'Etat américain de l'Oregon a récemment légalisé le suicide médicalement assisté ;
- depuis que la loi sur le droit des malades en phase terminale du Territoire-du-Nord (en Australie) a été abrogée, les Pays-Bas sont le seul pays à disposer d'une procédure de contrôle de toutes les interruptions de vie pratiquées par des médecins.


La reconnaissance législative de l'expression par avance de la volonté individuelle au Danemark, dans quelques cantons suisses, dans certains Etats ou territoires australiens et dans tous les Etats américains
Tous les pays sous revue admettent sans difficulté qu'un être humain capable de discernement puisse refuser un traitement médical qui ne sert qu'à prolonger sa survie.
En revanche, la réponse qu'ils apportent diffère lorsque le patient n'est plus en mesure de donner son accord. Certains pays ont donc choisi de légiférer sur ce point afin de donner à chacun le droit :

- d'exprimer par avance, dans un testament de vie, son refus d'un traitement médical visant uniquement la prolongation de la survie, sans perspective de guérison ;

- ou de désigner un mandataire chargé de prendre toute décision médicale à sa place en cas d'incapacité.


Les testaments de vie au Danemark et en Suisse
Au Danemark, depuis 1992, la loi, reconnaissant ainsi une pratique antérieure, permet à toute personne majeure et capable d'exprimer par avance son refus d'être soignée, si elle devait se trouver dans une situation dans laquelle elle ne pourrait plus manifester sa volonté.
Actuellement, ce droit figure explicitement dans la loi sur l'exercice de la profession médicale, ainsi que dans celle qui régit le statut du patient.
Les intéressés doivent remplir des imprimés spéciaux qui sont enregistrés, moyennant paiement d'un droit minime.
La loi oblige le personnel soignant à consulter le registre des testaments de vie et souligne la force obligatoire de ces documents lorsqu'ils concernent des malades en phase terminale. En revanche, les testaments de vie des malades qui souffrent d'affections graves ou invalidantes n'ont qu'une valeur indicative.
En Suisse, où la santé publique relève de la compétence des cantons, plusieurs d'entre eux, parmi lesquels le Valais et les cantons de Genève, de Lucerne, de Neuchâtel et de Zurich, ont légiféré pour reconnaître la force juridique des testaments de vie.

Les testaments de vie ou les mandataires dans les Etats australiens et américains
En Australie, quatre des huit Etats ou territoires ont légiféré dans ce domaine : l'Etat de Victoria et le Territoire-du-Nord ont légalisé en 1988 les testaments de vie, tandis que le Territoire-de-la-Capitale-Australienne et l'Etat d'Australie-Méridionale ont, respectivement en 1994 et en 1995, adopté des lois prévoyant la désignation d'un mandataire ayant le pouvoir de refuser un traitement médical au cas où le mandant deviendrait incapable.
Aux Etats-Unis, tous les Etats ont légiféré pour permettre à chacun de refuser par avance tout acharnement thérapeutique. En Alaska, la loi ne prévoit que le testament de vie ; dans les trois Etats du Massachusetts, du Michigan et de New York, elle n'autorise que la désignation d'un mandataire ; dans tous les autres Etats, elle admet les deux formes.
Par ailleurs, aux Etats-Unis, la faible utilisation de ces possibilités par les malades a conduit la moitié des Etats à adopter des dispositions permettant de désigner d'office un mandataire de santé.


La légalisation de l'euthanasie passive et de l'euthanasie indirecte pour des malades en phase terminale au Danemark
Dans chacun des sept pays étudiés, l'arrêt ou l'abstention des soins, de même que l'administration de fortes doses d'antalgiques, sont couramment pratiqués pour abréger la vie de malades en phase terminale, mais le plus souvent en dehors de toute règle législative ou réglementaire.
Le Danemark est le seul pays à avoir explicitement légalisé ces actes médicaux. En effet, la loi sur l'exercice de la profession médicale permet au médecin, en l'absence de testament de vie et face à un malade en phase terminale, de " se dispenser de commencer ou de poursuivre des soins qui ne peuvent que retarder la date du décès. Dans les mêmes circonstances, le médecin peut donner des antalgiques, des calmants ou des produits analogues, qui sont nécessaires pour soulager le patient, même si une telle action peut conduire à hâter le moment du décès. "


La légalisation du suicide médicalement assisté dans l'Etat de l'Oregon
Approuvée par référendum en novembre 1994, cette loi n'est finalement entrée en vigueur qu'en novembre 1997 à la suite d'un nouveau référendum, car un recours en justice en avait suspendu l'application.
Elle permet à " un adulte capable (...), dont le médecin traitant et un médecin consultant ont établi qu'il souffrait d'une maladie en phase terminale (qui entraînera la mort dans les six mois) et qui a volontairement exprimé son souhait de mourir, de formuler une requête pour obtenir une médication afin de finir sa vie d'une manière humaine et digne ".


De la pénalisation à la légalisation de l'euthanasie aux Pays-Bas
Le code pénal néerlandais condamnait l'euthanasie et l'aide au suicide jusqu'en avril 2001. En 1993, déjà, une procédure de contrôle de toutes les interruptions de vie réalisées par des médecins fut instituée par un règlement d'administration publique qui a été approuvée par le Parlement. Elle est entrée en vigueur le 1er juin 1994. Elle concernait toutes les interruptions de vie (euthanasies actives pratiquées sur demande du malade ou sans son consentement et assistances au suicide). Le règlement de 1993 exigeait que le médecin auteur de l'interruption de vie fît parvenir au médecin légiste de la commune un formulaire très détaillé lui permettant de vérifier que le médecin avait respecté les critères "de minutie" susceptibles de justifier l'abstention des poursuites de la part du ministère public.
A partir du 1er novembre 1998, une nouvelle procédure fut applicable. Elle concernait uniquement les interruptions de vie réalisées à la demande du malade. Le contrôle de ces interruptions de vie était effectué par des commissions régionales. Elles étaient cinq, chacune réunissant un médecin, un juriste et un spécialiste des questions éthiques. La commission régionale de contrôle considérait que le médecin avait agi avec rigueur si :

- "le patient a formulé sa demande librement, de façon mûrement réfléchie et constante ,
- les souffrances du patient étaient insupportables et sans perspective d'amélioration, selon les conceptions médicales prédominantes du moment ;
- le médecin a consulté au moins un autre médecin indépendant ;
- et si l'interruption de la vie a été pratiquée avec toute la rigueur médicalement requise".


En pareil cas, le ministère public, auquel la commission transmet ses conclusions, classait l'affaire sans suite. Quant aux interruptions de vie réalisées par des médecins en dehors de toute demande expresse du patient, elles devaient être contrôlées par une commission nationale.
Jusqu'en 1997, un dispositif similaire existait en Australie, dans le Territoire-du-Nord, mais la loi sur le droit des malades en phase terminale, entrée en vigueur le 1er juillet 1996 et qui accordait un droit limité à l'euthanasie et au suicide assisté aux malades atteints d'une maladie incurable et douloureuse, a été abrogée par le Parlement fédéral en mars 1997 après que quatre personnes y eurent recouru.


Légalisation de l'euthanasie au Pays-Bas et en Belgique
Ces deux pays ont dépénalisé l'euthanasie, c'est-à-dire l'intervention destinée à mettre fin à la vie d'une personne à sa demande expresse, lorsqu'elle est pratiquée par un médecin qui respecte certaines conditions, les unes relatives à l'état du patient (souffrances intolérables, absence de perspectives d'amélioration...), les autres à la procédure (information du patient, consultation d'un confrère...).
Les législateurs néerlandais et belge n'ont pas retenu la même formule juridique pour dépénaliser l'euthanasie. Le premier a en effet modifié les deux articles du code pénal relatifs à l'homicide commis sur demande de la victime et à l'assistance au suicide. En revanche, la loi belge relative à l'euthanasie ne modifie pas le code pénal et ne vise pas explicitement l'assistance au suicide.
De plus, en Belgique, la demande d'euthanasie doit obligatoirement être formulée par écrit, alors que ce n'est pas le cas aux Pays-Bas.
Dans les deux pays, la loi institue une procédure de contrôle des euthanasies : tout médecin qui pratique un tel acte doit établir un rapport, qu'il transmet à une commission ad hoc. Celle-ci réunit des médecins, des juristes et des spécialistes des questions éthiques. La commission de contrôle vérifie que l'euthanasie a eu lieu dans les conditions fixées par la loi. Lorsque ce n'est pas le cas, elle informe le ministère public.
Les deux lois reconnaissent la validité des demandes anticipées d'euthanasie, permettant ainsi à des médecins de pratiquer des euthanasies sur des personnes qui ne sont plus en mesure d'exprimer leur volonté, mais qui l'ont fait par écrit lorsqu'elles le pouvaient encore.
Les deux lois traitent le cas particulier des mineurs. En effet, la loi belge assimile aux majeurs les mineurs émancipés, aucun mineur ne pouvant être émancipé avant d'avoir atteint l'âge de quinze ans. En revanche, la loi néerlandaise ne reconnaît la validité des demandes d'euthanasie formulées par des mineurs âgés de seize à dix-huit ans que si les parents ont été associés à la décision. Lorsque l'enfant a entre douze et seize ans, les parents doivent approuver sa décision. En outre, l'enfant de moins de seize ans ne peut pas formuler de demande anticipée.

http://www.genethique.org/doss_theme/dossiers/euthanasie/note_synthese.htm

vendredi 12 février 2010

Nos 8 Engagements pour Midi Pyrénées

Elections Régionales Les 8 engagements de la Majorité Présidentielle



I – ZERO FISCALITE SUPPLEMENTAIRE


Face au bilan des socialistes en région (forte augmentation de la pression fiscale, des dépenses de fonctionnement et diminut ion des dépenses d’investissement,…), le Nouveau Centre, au sein de la Majorité, prend l’engagement de ne pas augmenter la fiscalité dans les régions pour préserver le pouvoir d’achat des français.


II – EMPLOI/FORMATION : 1 ENTREPRISE / 1 APPRENTI


L’apprentissage est très apprécié des Français et des entreprises (54% des PME y ont recours fréquemment selon une enquête Ipsos

01/2010). Il permet de favoriser notamment l’insertion des jeunes dans le marché du travail, préoccupation de plus en plus importante alors que 43% des jeunes diplômés sont au chômage. Pour développer l’apprentissage, la Majorité s’engage à aider les entreprises qui font confiance aux apprentis mais aussi à soutenir les apprentis dans leur vie quotidienne.

La Majorité propose également de réfléchir en termes de métier : premier métier (apprentissage), nouveau métier (formation continue), métiers verts, etc. Pour cela, à l’initiative du Nouveau Centre, elle s’engage à développer les lycées de métiers pour assurer à tout le monde une formation tout au long de la vie. Elle souhaite enfin mettre en place un service public de l’orientation pour permettre aux jeunes de concrétiser leurs projets et les informer sur toutes les possibilités qui s’offrent à eux.


III – PLAN DE CROISSANCE REGIONAL


La Majorité souhaite faire des régions des acteurs du développement économique des territoires, en se posant en véritable puissances publiques stratèges en complément de l’Etat. Pour cela, elle veut notamment développer les pôles de compétitivité et mettre en place des Fonds d’investissement régionaux destinés à améliorer les transports, moderniser les lycées, soutenir les PME,…


IV – VIDEOSURVEILLANCE DANS 100% DES LYCEES ET DES GARES


La sécurité constitue une préoccupation majeure des français. Aussi, face à l’inaction des socialistes, notamment pour protéger les lycées dont ils ont la charge, la Majorité prévoit la mise en place de système de vidéosurveillance dans les lycées et les gares.

V – CROISSANCE VERTE : PREPARER L’ARRIVEE DU VEHICULE ELECTRIQUE

La Majorité prévoit la mise en place d’installations pour véhicules électriques dans toutes les régions afin d’équiper en modes de transport propres des territoires où l’utilisation du véhicule individuel ne peut être évitée (milieux ruraux ou lointaines banlieues principalement). Cela permettra également de créer davantage d’emplois « verts ».


VI – CARTE MOBILITE UNIQUE

La Majorité souhaite également instaurer une Carte Mobilité Unique pour tous les moyens de transport intra-régionaux afin de faciliter le quotidien des Français qui, pour se déplacer tous les jours, sont amenés à emprunter plusieurs moyens de transports et à utiliser plusieurs supports de validation (tickets métro, bus, tram,…).


VII – LUTTER CONTRE LA DESERTIFICATION MEDICALE


Pour faire face au défi de la couverture du territoire en matière de santé, la Majorité propose de créer un véritable réseau de Maisons de Santé Pluridisciplinaires qui regrouperaient des médecins généralistes mais aussi quelques spécialistes, des infirmiers,… Elles permettront par ailleurs d’attirer plus facilement les jeunes médecins.

VIII – - 20% SUR VOS FACTURES D’ENERGIE


La Majorité s’engage à mettre en place des Avances régionales afin de financer l’investissement par les ménages dans des équipements d’énergie renouvelable par exemple (panneaux solaires, etc…). Nous lutterons également contre la précarité énergétique en mettant en œuvre en coordination avec l’ADEME des diagnostics afin de limiter les mauvaises performances énergétiques des logements concernés. Nous encouragerons enfin la mise aux normes environnementales des logements sociaux afin de réduire la consommation d’énergie de ces derniers.

mardi 9 février 2010

Les Associations, la force de la solidarité.

Les Associations, la force de la solidarité.

Laurent Cuzaq , le chef de file du Nouveau Centre en Midi Pyrénées, s’est rendu ce jeudi à un débat organisé par la Conférence Permanente des Coordinations Associatives,(CPCA) en présence d’Arnaud Lafon , Gerard Onesta et Jean Claude Traval.

Ce débat, organisé au foyer des jeunes travailleurs de Jolimont a permis à notre mouvement de réaffirmer la place déterminante que devait avoir le milieu associatif à la fois dans l’action sociale mais aussi dans des missions consultatives au sein des entités politiques.

En effet, les responsables d’associations sont de véritables représentants de la population et ont beaucoup a apporter au débat politique local.


lA SUITE SUR http://jeunescentristes31.wordpress.com

jeudi 4 février 2010

Je soutiens Laurent Cuzacq et Sabrina Suze sur la liste de Brigitte Barèges...


Je soutiens Laurent Cuzacq et Sabrina Suze, candidats du Nouveau Centre sur la liste de brigitte Barèges pour les élections régionales des 11 et 18 Mars prochain.

En effet, notre parti doit être représenter au Conseil Régional par des personnes jeunes et d'expérience.

Nos élus sauront faire passer les idées qui figurent sur notre projet régional

Faire de la Région un acteur majeur d’un grand « Plan Ambition Jeunes » visant à répondre aux principales préoccupations des jeunes en matière de logement, de mobilité et de formation.

o Lancement d’un plan de logement étudiant, Mécanisme de cautionnement Régional,

o Création d’un Erasmus des apprentis,

o Mise en place d’une carte culture-transport pour les jeunes de 15 à 25 ans,


Répondre aux préoccupations du quotidien

la priorité doit rester la solidarité, l’emploi et la protection du pouvoir d’achat :

o L’accès à tous les transports en commun pour 1,5 euro par jour,

o La généralisation des contrats de transition professionnelle à tous les bassins d’emploi en difficulté,

o Création de lycées de métiers afin de favoriser la formation tout au long de la vie et l’emploi des seniors.

Je soutiens nos candidats Nouveau Centre car notre parti a besoin d'élus pour faire partager nos idées novatrices sur la société.

Votons donc pour la liste de la Majorité Présidentielle conduite par Brigitte Barèges pour faire rentrer au Conseil Régional des élus du Nouveau Centre qui sauront donner à cette institution une vague de fraicheur.