Continuez à être tel que je suis...

Je suis jeune et pourtant j'ai commencé à faire de la politique lors de la campagne des élections municipales de Toulouse en 1989.

J'avais 11 ans et mon père m'a amené voir une réunion publique de Dominique Baudis.

Dominique Baudis a été et continue à être pour une partie de la population toulousaine un "Dieu" vivant.

Il est quand même vrai qu'il a toujours gagné les élections municipales au premier tour.

En 2000, il est parti et petit à petit la machine à perdre s'est mise en route.

Puis une page s'est tournée et nous avons hélas perdu les élections municipales à Toulouse.

Je ne vais pas revenir dessus mais celà fut un déclic dans ma tête.

J'ai voulu m'engager un peu plus en politique et j'ai choisi pour celà le Nouveau Centre.

Pourquoi le Nouveau Centre ?

1 pour ses idées humanistes, européennes et sociales

2 car il fut nouveau comme son nom l'indique et au niveau local une nouvelle génération d'hommes et de femmes politiques est apparue.

3 j'ai bien aimé comme Serge Didier a passé le relais à Laurent Cuzacq, c'est rare en politique pour être soulever

Petit à petit une relation de confiance s'est établie avec son président départemental, Laurent Cuzacq ainsi qu'avec Thierry Viala, à l'époque secrétaire général.

J'ai animé des café forum sur la réforme des collectivités territoriales ou sur l'Europe.

Puis Karin Tourmente-Leroux, fondatrice de Femmes au Centre, club de réflexion sur la problématique de la femme et de la famille m'a demandé d'être référent en Haute Garonne puis d'être le trésorier adjoint de cette association.

Maintenant, je deviens secrétaire général de la fédération Nouveau Centre de la Haute Garonne.

Merci à Laurent et à Thierry pour leur confiance.

Je vais rester comme je suis, j'ai pas envie de changer, en premier par respect pour ceux qu me font confiance, ensuite par respect pour moi-même et pour les miens.

Je vais continuer à travailler sur les idées en regardant de loin les querelles de personnes.

J'ai envie de changer notre société avec une seule idée : mettre l'humain au centre du débat